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Les articles soumis à la rédaction

Publié en ligne le 22 février 2000 -

Instructions aux auteurs

Public visé

  • Les textes soumis à la rédaction doivent être « tout public ».
  • Ils s’adressent à un lecteur dont on doit supposer qu’il n’a pas de connaissance dans le domaine traité et qu’il n’a pas forcément une formation scientifique. Mais qu’il est a priori intéressé à comprendre le sujet.

État des connaissances et opinion de l’auteur

  • L’état des connaissances doit être rappelé. S’il existe des avis d’agences sanitaires, d’entités académiques ou de sociétés savantes, ils doivent être mentionnés (citations, extraits en encadrés, etc.). L’opinion de l’auteur peut être présentée, mais de façon séparée, et plutôt en conclusion de l’article qui doit d’abord exposer les faits et les clés de compréhension du sujet.
  • La revue Science et pseudo-sciences n’a ni la vocation ni les compétences pour publier des recherches originales.

Longueur et format

  • Soumettre un document OpenDocument, Word ou équivalent (pas de PDF).
  • La longueur des articles ne doit pas dépasser 15 000 signes (espace et références comprises). Un texte peut faire moins (9 000 signes par exemple) en fonction du sujet traité. Il peut aussi, dans certains cas, être plus long (prendre alors contact avec la rédaction).
  • Un encadré ne doit pas dépasser 3000 signes.
  • Les notes de lecture et les brèves scientifiques obéissent à des formats spécifiques (de l’ordre de 3 000 signes).
  • Se contenter d’une feuille de style minimaliste : un style pour le texte des paragraphes et un style pour d’éventuels intertitres. Ne pas insérer de gras, de soulignés ou d’italiques (à l’exception de contraintes typographiques : citations, noms de revues scientifiques, nom de journaux – voir instructions sur les références).
  • Les intertitres servent à structurer le texte et à faciliter la lecture (ils doivent rester courts). Le texte ne commence pas par un intertitre mais par un paragraphe de mise en contexte et de positionnement du sujet.
  • Des encadrés sont possibles (mais pas forcément nécessaires). Ils visent alors, soit à présenter un aspect connexe au sujet principal, soit à détailler un point particulier qui couperait la lecture s’il était dans le texte principal (l’encadré doit pouvoir être ignoré lors de la lecture). Les encadrés sont à inclure dans la contrainte de longueur.
  • Éviter les schémas, les figures et les formules mathématiques (qui rendent souvent le texte plus difficile à lire et moins accessibles aux personnes qui ne connaissent pas le domaine).

Notes de bas de page

  • Les éventuelles notes de bas de page doivent être en nombre limité et rester très courtes. Il est préférable d’insérer l’information dans le corps du texte.

Références

  • Les principales affirmations doivent être sourcées et référencées.
  • L’appel de référence se fait sous la forme d’une numérotation entre crochets ([1]) et la référence est mise en note de bas de page (pour faciliter les renumérotations en cas d’ajout ou de retrait de références – elles seront rassemblées en fin de document par le secrétariat de rédaction, au moment de la mise en page).
  • Il faut ajouter le lien Internet (quand il existe) permettant d’accéder à la référence en ligne.
  • Le format des références est décrit dans un document séparé.

Mise en page et illustrations

  • La mise en page est faite par le secrétariat de rédaction, après finalisation du texte.
  • Les illustrations sont ajoutées par la rédaction.
  • Les auteurs d’articles reçoivent les épreuves avant impression pour validation finale (mise en page, illustrations, etc.).

Quelques suggestions pour une meilleure vulgarisation

  • Trouver un titre adéquat, qui soit bref, évocateur du contenu, facilement mémorisable (la rédaction fera des suggestions, le cas échéant).
  • Dans l’introduction, situer le travail dans son domaine, évoquer le contexte grand public, les implications possibles.
  • S’autoriser parfois une certaine redite (dans une phrase de transition d’un paragraphe à l’autre pour ne pas perdre le lecteur). La conclusion peut également rassembler des éléments traités plus haut (sous une forme différente) en ouvrant sur une perspective, une limite, une difficulté à dépasser.
  • Privilégier des phrases courtes, ne pas utiliser de mots compliqués (termes techniques, jargon, etc.), bien définir les termes qui sont incontournables (et qui doivent rester en nombre très limité). Préférer une paraphrase à un terme complexe qui, même s’il est défini au début du texte, fera buter le lecteur à chaque occurrence.
  • Eviter les acronymes (et si utilisation indispensable, les définir à la première occurrence°.

Pour toute question, s’adresser à contact@afis.org


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