La vie extraterrestre : science et science-fiction
Publié en ligne le 14 février 2025 - Astrologie -
L’exploration de l’espace par l’humanité est un concept récurrent dans les œuvres de la culture populaire, et ce depuis bien avant les débuts de la conquête spatiale. Au IIe siècle de notre ère déjà, l’auteur syrien Lucien de Samosate décrivait dans la satire Histoires vraies le voyage d’un bateau grec jusqu’à la surface de la Lune. Il s’y déroule une guerre pour le contrôle de Vénus entre le roi de la Lune et le roi du Soleil, dont les armées sont constituées d’étranges créatures extraterrestres [1]. On retrouve dans cette histoire des thèmes qui intéressent aujourd’hui encore les adeptes de science-fiction : voyage spatial, rencontre avec des formes de vie extraterrestres, guerre interplanétaire, colonisation planétaire…
Néanmoins, il a été prouvé que les œuvres de culture populaire peuvent biaiser notre compréhension de la science en véhiculant des concepts en contradiction avec l’état de nos connaissances scientifiques [2]. Pour un sujet aussi communément traité que la vie extraterrestre, il est donc logique que le grand public n’ait qu’une vision floue de la réalité scientifique à ce sujet.

Le fantasme d’une rencontre du troisième type
Entrer en contact avec des formes de vie extraterrestre est un fantasme populaire commun : de nombreux témoignages, dont la crédibilité laisse à désirer, décrivent des rencontres avec des extraterrestres. Souvent similaires dans leurs descriptions, ces témoignages semblent néanmoins influencés par la représentation humanoïde des extraterrestres de science-fiction : c’est ce que l’on appelle le modèle sociopsychologique (voir [3]). Cette théorie, très crédible et qui rendrait compte de la similitude des récits, explique la profusion de témoignages par l’influence mutuelle des individus au sein d’un groupe social [4].
Cependant, certaines théories validant l’existence d’extraterrestres ont été également défendues par des scientifiques. On peut par exemple citer l’expérience biologique Labeled Release menée sur Mars en 1976 par les atterrisseurs Viking, ayant donné des résultats positifs selon certains de ses concepteurs [5] ; ou encore des photographies de formes prétendument mouvantes, notamment un scorpion, prises sur Vénus par la sonde Venera 13. Ces théories ont eu d’autant plus de crédit aux yeux des personnes croyant à l’hypothèse extraterrestre qu’elles ont été formulées par des scientifiques. Néanmoins, ces élucubrations ont rapidement été démenties par le reste de la communauté scientifique (par exemple [6]).
La science est donc certainement le moyen le plus sérieux et fiable pour rechercher des formes de vie extraterrestre. Ces recherches sont divisées en deux spécialités, dont les méthodes et les objectifs diffèrent. L’une s’intéresse aux « technosignatures », c’est-à-dire aux signes de présence de civilisations technologiquement avancées ; l’autre s’intéresse aux « biosignatures », c’est-à-dire aux signes biologiques de présence de vie.
Technosignatures
Le programme SETI, pour Search for Extra-Terrestrial Intelligence (« recherche d’intelligence extra-terrestre »), a été initié en 1960. Soutenu par divers organismes publics (dont la Nasa) ou privés, il regroupe, de façon décentralisée, divers projets scientifiques visant à détecter la présence de civilisations technologiquement avancées, sur des exoplanètes (planètes situées en-dehors de notre Système solaire) ou dans d’autres systèmes planétaires [7]. À la base du SETI se trouvent deux concepts : l’équation de Drake, qui justifie l’existence du programme, et le paradoxe de Fermi, auquel le programme cherche à répondre (voir encadré ci-après).
Les recherches du programme SETI se concentrent principalement sur deux types de technosignatures : les sources de communication et les structures artificielles.
Dans le cas des communications, les scientifiques recherchent des signaux électromagnétiques émis sur une étroite bande de longueur d’onde, car de tels signaux sont puissants et donc plus adaptés pour des transmissions à longue distance. Les longueurs d’onde privilégiées sont celles des ondes radio, car elles sont peu perturbées par le milieu galactique et l’atmosphère terrestre ; mais de récents projets s’intéressent également à d’autres longueurs d’onde, dans l’infrarouge ou le visible. Ces signaux peuvent être captés depuis la Terre par les télescopes, des instruments de forme parabolique et de dimension parfois gigantesque. Les plus grands atteignent des diamètres de plusieurs centaines de mètres, comme le Five-hundred-meter Aperture Spherical Telescope en Chine (500 mètres) ou le RATAN-600 en Russie (576 mètres). On peut également capter ces signaux depuis l’espace avec des télescopes spatiaux, comme Hubble ou le plus récent James Webb Space Telescope. Lancés respectivement en 1990 et 2021, ces télescopes ont été conçus par la Nasa, avec une participation de l’Agence spatiale européenne. Le principal avantage de ces télescopes est qu’ils permettent d’éviter des perturbations des signaux par l’atmosphère terrestre.
Les structures artificielles recherchées sont diverses : vaisseau spatial, exoplanète habitée, sphère de Dyson (mégastructure artificielle construite autour d’une étoile pour capter son énergie), etc. Les instruments permettant d’observer ces potentielles technosignatures sont également divers, et spécifiques à chaque objet : les vaisseaux spatiaux pourraient être identifiés grâce à des émissions importantes d’énergie dues à leur propulsion ; les exoplanètes hébergeant une civilisation intelligente grâce à une luminosité anormale de leur surface ; ou les sphères de Dyson grâce à une radiation anormale dans l’infrarouge.
Mais un problème se pose : comment s’assurer qu’une supposée technosignature provient en effet d’une source artificielle ? Ce problème est bien résumé par l’histoire du Signal Wow ! Ce signal radio, puissant et court, capté en 1977 par le radiotélescope Big Ear (Ohio, aux États-Unis), était typiquement ce que les scientifiques du programme SETI s’attendaient à observer dans le cas de communications interstellaires. De plus, aucun phénomène naturel connu n’aurait pu produire un tel signal. Mais comment déterminer avec certitude si ce signal était bien artificiel ? Le débat est encore ouvert aujourd’hui au sein de la communauté scientifique, et la piste d’un phénomène naturel inconnu reste probable [8]. Pour le moment donc, aucune technosignature n’a jamais pu être identifiée comme telle avec certitude.
L’équation de Drake
L’équation de Drake (formulée par l’astronome Frank Drake en 1961) propose une estimation mathématique de la probabilité de rentrer en contact avec une civilisation extraterrestre [1]. Cette équation inclut des paramètres connus avec plus ou moins de certitude (taux de formation d’étoiles dans la galaxie, proportion d’étoiles possédant une planète habitable…), mais également des paramètres totalement inconnus (taux de planètes habitables qui développent de la vie, durée de vie d’une civilisation intelligente…). Le but de cette équation n’est pas de donner un résultat précis, mais plutôt de montrer qu’en y insérant des valeurs de paramètres plausibles, la probabilité d’un contact n’est pas nulle. Elle permet également d’ouvrir des discussions sur l’importance de certains paramètres dans la probabilité d’entrer en contact avec une civilisation extraterrestre.
Cette équation, dont nous avons déjà parlé dans SPS, se présente ainsi :
N est le nombre de civilisations potentiellement détectables que l’on cherche à déterminer ; R* est le nombre d’étoiles naissant chaque année dans la galaxie ; fp est la proportion d’étoiles autour desquelles gravitent des planètes ; ne est le nombre moyen de planètes habitables pour une telle étoile ; fl est la proportion de telles planètes ayant développé une forme de vie ; fi est la proportion de telles planètes ayant développé une forme de vie intelligente ; fc est la proportion de telles civilisations développant une technologie de communication interstellaire ; et L est la durée de vie estimée d’une telle civilisation.
Parmi les discussions que cette équation peut susciter, nous pouvons mentionner le fait que si les civilisations technologiques ont tendance à s’autodétruire trop rapidement, la probabilité d’une rencontre s’en trouverait réduite. Cette idée permet également de réfléchir sur notre propre civilisation : entre le dérèglement climatique que nous causons, les différentes nations belliqueuses possédant l’arme nucléaire, et les très nombreuses autres crises que l’humanité va certainement traverser, comment être sûr que la civilisation humaine n’est pas simplement vouée à s’autodétruire ?
Le paradoxe de Fermi
Le paradoxe de Fermi, du nom du physicien Enrico Fermi qui l’aurait énoncé en 1950, nous dit que, compte tenu de l’âge de l’Univers et du nombre de planètes potentiellement habitables dans la galaxie, une civilisation intelligente aurait déjà dû communiquer, voire s’être déplacée partout dans la galaxie ; or, nous n’avons jusqu’à présent jamais pu avoir de preuve de l’existence d’une telle civilisation. Ce paradoxe soulève encore aujourd’hui de nombreux débats dans la communauté scientifique, qui réfléchit aux différentes réponses possibles : sommes-nous l’unique exemple de formation de vie dans l’Univers ? Les extraterrestres savent-ils que nous existons, mais nous ignorent ? Sommesnous la seule civilisation essayant de communiquer dans l’espace interstellaire ? [2].
Références
1 | Burchell MJ, “Wh(i)ther the Drake equation ?”, International Journal of Astrobiology, 2006, 5 :243-50.
2 | Webb S, If the universe is teeming with aliens... where is everybody ?, Springer, 2015.
À lire sur ce sujet
Angelou M et al., Où sont-ils ? Les extraterrestres et le paradoxe de Fermi, CNRS Éditions, 2017. Voir la note de lecture, SPS n° 323, juillet 2018. Sur afis.org
Biosignatures
L’exobiologie est la branche de la science s’intéressant à l’apparition de la vie, et à sa potentielle présence ailleurs que sur la Terre. Dans un besoin de cadrer les recherches de vie extraterrestre, le « Programme Exobiologie » de la Nasa (lancé dans les années 1960) a donc mis en place la définition suivante de la vie : « un système chimique autonome capable d’évolution darwinienne » [9]. Cette définition englobe bien entendu la vie telle qu’on la connaît sur Terre, mais est suffisamment large pour inclure des formes de vie éventuellement très diverses. En tant que « système chimique », toute vie peut potentiellement laisser des traces dans son environnement.

Sur Terre notamment, l’activité biologique provoque des échanges de gaz entre les organismes et l’atmosphère, échanges qui font partie des cycles biogéochimiques de plusieurs éléments chimiques à l’échelle de la planète. Par exemple, la respiration des êtres vivants produit du dioxyde de carbone, et la photosynthèse du dioxygène ; ces processus font partie des cycles terrestres du carbone et de l’oxygène [10]. L’étude des gaz est donc prépondérante en exobiologie [11]. Elle peut se faire par des analyses faites sur place, comme sur Mars avec les atterrisseurs Viking en 1976. Notons que concernant Mars, les recherches actuelles s’interrogent plutôt sur la présence d’eau liquide dans le lointain passé de la planète, qui, dans certaines conditions, aurait pu rendre la planète habitable pour une vie biologique. Or des conditions favorables à la vie ne signifient pas que la vie s’y serait développée. Et, de fait, aucune preuve de vie biologique n’a jamais pu être formellement identifiée sur Mars.
Dans le cas des exoplanètes, on peut étudier leur atmosphère à distance avec des télescopes. Ceux-ci peuvent capter la lumière qui a été émise par une étoile, puis a traversé l’atmosphère d’une exoplanète ; cela permet d’estimer la composition chimique de cette atmosphère. On peut donc y rechercher la présence de gaz typiquement produits par une activité biologique. Mais la simple présence de ces gaz ne suffit pas à en déduire la présence de vie, car la plupart peuvent également se former sans activité biologique. Il est donc important d’étudier l’atmosphère d’une exoplanète dans son ensemble pour pouvoir évaluer la probabilité que la vie y soit effectivement présente.
En dehors des gaz, les télescopes peuvent également étudier les rayonnements provenant directement d’une exoplanète. On y cherche alors des signes de vie en surface [9]. Ces recherches sont basées sur ce que nous connaissons de la vie sur Terre : modifications des rayonnements par des pigments ou des structures végétales, présence de molécules organiques typiques de la vie, fluorescence, bioluminescence… De la même façon que pour les gaz, la plupart de ces potentiels signes de vie en surface, bien qu’issus de l’activité biologique sur Terre, pourraient être générés par des processus non biologiques. Il convient donc de cumuler les observations et d’examiner des faisceaux d’indices plutôt qu’une seule et unique mesure.
Notons que la recherche d’eau liquide est un domaine lié de près à l’exobiologie et la recherche de biosignatures. En effet, sur Terre, il est probable que la vie soit apparue grâce à la présence d’eau liquide. Ce composé est donc particulièrement recherché dans le Système solaire, car il pourrait être le signe d’un environnement propice à l’apparition de la vie. C’est d’ailleurs une des principales priorités des missions spatiales à destination de Mars ou des lunes glacées de Jupiter et Saturne [12].
Comme pour la recherche de technosignatures, il faut prendre avec précaution les découvertes de potentielles biosignatures. En septembre 2023, une équipe de l’université de Cambridge a annoncé avoir détecté sur l’exoplanète K2-18b (située à environ 124 années-lumière de notre Système solaire) plusieurs gaz typiquement produits par l’activité biologique telle qu’elle est connue sur Terre. Cette découverte a inspiré des articles de presse aux titres sensationnalistes : on a peut-être détecté la vie sur une exoplanète [13] ! Néanmoins, comme souvent dans le cas de découvertes sensationnalistes, de plus récentes études sont venues la remettre en cause : certaines mesures avaient été surinterprétées… Jusqu’à présent, il y a donc eu sur plusieurs exoplanètes des détections de molécules pouvant être liées à une activité biologique (par exemple [14, 15]). En revanche, aucune biosignature n’a jamais pu être identifiée avec certitude.
Conclusion
La recherche de vie extraterrestre peut sembler vaine, tant la probabilité d’avoir un jour un résultat positif est incertaine. De surcroît, les recherches menées sont biaisées : nous recherchons les technosignatures et biosignatures selon notre expérience de la vie et de la technologie sur Terre. Or, rien ne nous dit qu’une vie extraterrestre primitive obéira aux mêmes règles biologiques que les nôtres, ni qu’une civilisation extraterrestre intelligente appréhendera la technologie de la même façon que l’humanité. Ainsi, une vie extraterrestre pourrait produire des gaz différents de ceux produits par la vie sur Terre, ou pas de gaz du tout. De même, une civilisation intelligente aurait pu découvrir des technologies de communication si différentes des nôtres que l’espoir d’un contact resterait voué à l’échec.
Le tableau n’est cependant pas si noir. Comme l’écrit l’astrophysicien Jason T. Wright dans un article de 2021 : « Restez sceptiques, mais pas cyniques. » Il est vrai que les recherches du programme SETI ont une très faible probabilité d’aboutir, mais mettre fin à ces recherches ferait descendre de façon certaine ces chances à zéro [7].

De plus, cette faible probabilité de résultat positif est à nuancer. La recherche de biosignatures a de bien plus grandes chances d’aboutir que la recherche de technosignatures car toute vie, même primitive et non intelligente, se traduit par une activité biologique. Certes ces recherches subissent un « biais terrestre » ; mais, vu d’un autre angle, la combinaison de facteurs que nous recherchons pour détecter la vie est la seule pour laquelle nous soyons sûrs qu’elle a marché au moins une fois : sur Terre.
Les œuvres de science-fiction et les récits sensationnalistes de « rencontres du troisième type » (référence au film de Steven Spielberg sorti en 1977) sont évidemment très attrayants, car ils touchent à un domaine qui nous est en quasi-totalité inconnu et dont les conséquences seraient majeures et imprédictibles. Ce thème est donc propice aux récits de fiction et la qualité de certaines œuvres justifie la popularité de ce style. Certains scientifiques se sont eux-mêmes adonnés à ce genre (on pense en particulier au cycle de Fondation écrit par Isaac Asimov).
Toutefois, la seule façon d’obtenir des réponses certaines à nos questions sur la vie extraterrestre est de s’en remettre à la rigueur de la méthode scientifique. Science qui, par ailleurs, est bien assez exaltante pour ne pas avoir besoin de prétendre que des extraterrestres nous visitent en secret, et que les autorités nous le cacheraient [16].
Pour creuser ces sujets, nous invitons le lecteur à se référer au livre d’Andrew May, Astrobiologie (voir la note de lecture de ce numéro de SPS).
1 | de Samosate L,Histoire véritable, livre premier, Hachette, 1866.
2 | Barnett M et al., “The impact of science fiction film on student understanding of science”, 2006, Journal of Science Education and Technology, 2006, 15 :179-91.
3 | Abrassart JM, « Les O.V.N.I., un phénomène socio-psychologique ? », SPS n° 254, juillet 2004. Sur afis.org
4 | Abrassart JM, « Le modèle sociopsychologique du phénomène OVNI : un cadre conceptuel interprétatif en sciences humaines », thèse de doctorat, Université catholique de Louvain, 2016. Sur dial.uclouvain.be
5 | Levin GV, Straat PA, “Life on Mars ? The Viking labeled release experiment”, Biosystems, 1977, 9 :165-74.
6 | Klein HP, “The viking biological investigations : review and status”, Origins of Life and Evolution of Biospheres, 1978, 9 :157-60.
7 | Wright JT, “Strategies and advice for the search for extraterrestrial Intelligence”, Acta Astronautica, 2021, 188 :203-14.
8 | Perez KI et al., “Breakthrough listen search for the WOW ! signal”, Research Notes of the AAS, 2022, 6 :197.
9 | National Aeronautics and Space Administration, “About life detection”, page web, 12 septembre 2024. Sur astrobiology.nasa.gov
10 | Bertrand JC et al, “Biogeochemical cycles”, Environmental Microbiology : Fundamentals and Applications, 2014, 511-617.
11 | Schwieterman EW et al., “Exoplanet biosignatures : a review of remotely detectable signs of life”, Astrobiology, 2018, 18 :663-708.
12 | National Aeronautics and Space Administration,“Mars exploration : science goals”, page web, consultée le 13 septembre 2024. Sur science.nasa.gov
13 | Pappalardo J, « L’exoplanète K2-18b pourrait abriter des formes de vie extraterrestre », National Geographic, 19 septembre 2023.
14 | Bell TJ et al., “Methane throughout the atmosphere of the warm exoplanet WASP-80b”, Nature, 2023, 623 :709-12.
15 | Ben-Jaffel L, Ballester GE, “Hubble Space Telescope detection of oxygen in the atmosphere of exoplanet HD 189733b”, Astronomy & Astrophysics, 2013, 553 :A52.
16 | Beau A, « Les aliens ont-ils débarqué ? Les étranges auditions du Congrès américain », L’Express, 28 juillet 2023.
Publié dans le n° 350 de la revue
Partager cet article
L'auteur
Astrologie

L’astrologie à l’épreuve : ça ne marche pas, ça n’a jamais marché !
Le 27 décembre 2009
La vie extraterrestre : science et science-fiction
Le 14 février 2025
Exclusif : Le seul horoscope qui se base sur la science !
Le 21 octobre 2019
Le Naïf et le Cosmologiste
Le 7 juillet 2014
L’astrologie « traditionnelle » a-t-elle encore un avenir ?
Le 3 février 2012
La cosmologie, victime collatérale de la guerre
Le 23 janvier 2012Communiqués de l'AFIS
