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Université de Lorraine : promotion de l’homéopathie ou promotion de l’esprit critique ?

Publié en ligne le 1er octobre 2022 - Homéopathie -
Conseil d’Administration de l’Afis (1er octobre 2022)

L’homéopathie n’a pas de fondement scientifique et sa relative popularité n’est pas une preuve d’efficacité. Ce constat est régulièrement renouvelé depuis des décennies par les Académies de médecine et de pharmacie et les agences sanitaires, en France et au niveau international. En France, en 2019, la Haute autorité de santé (HAS), après une analyse systématique de la littérature scientifique (364 méta-analyses, 517 essais cliniques identifiés) et une consultation des parties prenantes (29 entités auditionnées 1) a donné « un avis défavorable au maintien de la prise en charge par l’assurance maladie des médicaments homéopathiques ». Il s’appuie sur le constat que, « à ce jour, aucun mécanisme d’action complémentaire à celui de l’effet placebo n’a été démontré » pour les médicaments ou remèdes homéopathiques et que, de plus, il y a « absence de démonstration de leur intérêt sur la santé publique notamment sur leur intérêt pour réduire la consommation d’autres médicaments » [1]. Cet avis a été suivi par le gouvernement qui a décidé du déremboursement à compter du 1er janvier 2021.

L’enseignement de l’homéopathie au sein de certaines universités

Le non-remboursement des produits homéopathiques n’implique pas l’interdiction de cette pratique : les patients restent libres d’y avoir recours. Dès lors, former les futurs professionnels de santé à accueillir et accompagner ces personnes peut justifier une formation. Mais il est alors de la responsabilité de l’Université que les étudiants soient informés en rendant compte du consensus scientifique, à savoir qu’aucun remède homéopathique n’a démontré son efficacité. Il ne peut en aucun cas s’agir de faire la promotion des bienfaits allégués (mais invalidés) de cette pratique. Déjà en 1984, l’Académie de médecine déclarait « inopportun de faire délivrer par les facultés de médecine et de pharmacie et les écoles vétérinaires un diplôme ou un certificat d’homéopathie » mais que, en revanche, « il appartient […] aux professeurs de thérapeutique de fournir aux étudiants une information sur l’homéopathie, dans le cadre de leur enseignement normal » [2]. Il ne s’agit dès lors plus d’un enseignement de l’homéopathie, mais d’une formation sur l’homéopathie permettant aux futurs professionnels de santé de répondre aux interrogations des consommateurs et patients, dont les connaissances sur l’homéopathie se limitent souvent, hélas, aux affiches et publicités des entreprises homéopathiques et aux ouvrages grand public vantant les mérites de cette approche.

En réalité, la plupart des formations dispensées par les universités, en particulier dans le cadre de diplômes d’université spécifiques, oublient toute prudence sémantique et s’affichent comme des « cours d’homéopathie » présentant cette pratique comme une discipline médicale. Si un certain nombre d’université ont décidé de mettre fin à cet état de fait [3], on recensait encore en 2021 une trentaine d’universités abritant des cours d’homéopathie [4].

À l’université de Lorraine

Une controverse révélatrice de cette situation se déroule actuellement à l’université de Lorraine.

L’homéopathie enseignée à l’université de Lorraine

À l’origine de la controverse publique, il y a la réaction d’un étudiant en licence de l’Institut de formation en soins infirmiers (IFSI) de Nancy qui transmet au vulgarisateur scientifique Thomas C. Durand, animateur de la chaîne YouTube « La tronche en biais » (et responsable de l’Association pour la science et la transmission de l’esprit critique – ASTEC) le support d’un cours intitulé « Premières notions en homéopathie » qu’il vient de suivre 2 [5]. Ce cours s’inscrit dans la partie obligatoire de son cursus. L’homéopathie y est présentée comme « efficace » et avec « une action rapide », « en préventif ou en curatif » et pour les « pathologies aiguës ou chroniques ». Aucune mention n’est faite aux innombrables évaluations réalisées par les agences sanitaires. Cette promotion est assortie en conclusion d’une étude de cas où il est conseillé, face à un enfant de huit ans souffrant depuis 24 heures de symptômes tels que le nez qui coule, un sommeil perturbé et une fièvre à 39,5°C, de délivrer de l’homéopathie (Oscillococcinum, produit phare de l’entreprise Boiron, Belladonna 9CH et Allium cepa 9CH). Il s’agit donc bien d’une simple promotion de cette pseudo-médecine. D’ailleurs, l’intervenante termine sa présentation en indiquant que, « pour élaborer ce cours », elle s’est « documentée principalement auprès du Centre de formation en homéopathie (CDFH) » sans que soit mentionné auprès des étudiants le fait que ce centre, filiale de la société Boiron, numéro un mondial de l’industrie de l’homéopathie, est chargé de faire la promotion de l’homéopathie auprès des personnels de santé [6].

Les Instituts de formation en soins infirmiers sont tenus d’établir une convention avec l’université afin que les étudiants puissent se voir délivrer le grade de licence à l’issue de leurs études [7]. Dans cette convention, il est bien stipulé que l’université est impliquée, à la fois dans le contenu pédagogique, les jurys d’examen et l’évaluation de la formation [8]. La responsabilité de l’université de Lorraine est donc bien engagée. De plus, ce cours d’homéopathie est donné par une enseignante, professeur à la faculté de pharmacie de l’université de Lorraine.

À la Faculté de pharmacie, on trouve également un module faisant partie du cursus de base des étudiants en pharmacie (filière officine) intitulé « Phytothérapie, Aromathérapie et Homéopathie » sous la responsabilité de la même enseignante. Le Livret des études pour l’année scolaire 2020-2021 décrivait le contenu de la formation, avec la présentation des « grands principes de l’utilisation de l’homéopathie » et de ses indications supposées en « allergologie, antalgique, fièvre, dermatologie, stress, sommeil, ophtalmo, traumatologies bénignes, naupathie » [9].

Informé du sujet, le doyen de la faculté a choisi de ne pas répondre sur le fond « pour ne pas donner plus de poids à cette attaque » qu’il estime dirigée « contre l’enseignement de l’homéopathie et un enseignant de la Faculté de pharmacie » [10].

La « réponse » de l’université

Jusqu’à cette rentrée 2022, aucune instance de l’université n’avait réagi sur le fond et l’enseignement « Phytothérapie, Aromathérapie et Homéopathie » était reconduit avec la même responsable et quasiment le même descriptif. Mais une réponse est finalement arrivée, sous une forme indirecte. Alors que l’université de Lorraine était partenaire des conférences filmées et diffusées en direct de la chaine « La Tronche en biais » (conférences qui ont vu une centaine de scientifiques intervenir), deux décisions ont été prises : l’arrêt sans explication de cette collaboration et l’arrêt sans plus d’explication du module « esprit critique et zététique » prodigué par Thomas C. Durand dans le cadre de l’école doctorale de l’université [11].

Selon le journal L’Est Républicain (28 septembre 2022 [12]), il s’agit d’une « mesure de rétorsion assumée » par la présidente de l’université de Lorraine qui reproche à Thomas C. Durand que le nom de l’enseignante incriminée ait été communiqué, l’exposant ainsi « à un lynchage public ». On peut s’interroger sur le bien-fondé de ce reproche. En effet, l’enseignement en question est publiquement affiché par la faculté de pharmacie et le nom de l’enseignante figure explicitement dans les plaquettes de présentation de la formation. De plus, les propos de Thomas C. Durand portent exclusivement sur le contenu de la formation, pas sur les personnes qui la prodiguent. La présidente de l’université précise cependant au journaliste de L’Est Républicain, qu’« à l’issue de cette affaire, […] le cours a […] été révisé pour y laisser l’espace critique nécessaire ». Cette déclaration semble admettre que les arguments de Thomas C. Durand étaient fondés, au moins en partie. En outre, à ce jour, le contenu précis de ces « révisions » n’est pas connu, la consultation de la plaquette 2022-2023 ne montrant quasiment aucune évolution de la description du contenu de l’enseignement [13].

Une certaine « tradition » de l’université de Lorraine ?

En 2017, un jury de la faculté de pharmacie a validé une thèse intitulée « L’homéopathie vétérinaire dans un élevage bovin, focus sur les principales pathologies » [14]. Dans l’introduction, il est confirmé que, « durant la formation initiale des pharmaciens d’officine à la faculté de Pharmacie de Nancy, la médecine homéopathique est enseignée en première et en sixième années ». Le texte est un plaidoyer, sans l’ombre d’une critique, pour l’homéopathie qui « trouve aujourd’hui sa place dans la médecine vétérinaire comme dans la médecine humaine à côté des autres thérapeutiques ». Les mots « évaluation » ou « essai clinique » ne sont jamais utilisés. En revanche, on y apprend (avec un peu d’étonnement pour une thèse de pharmacie) que les « animaux Sulfuriques […] sont de taille moyenne, avec poids moyen à l’aspect harmonieux et équilibré […], des aplombs droits, une tonicité et une laxité ligamentaire normaux, [des] mâchoires […] faites de dents blanches et carrées qui s’emboîtent bien » et que ces animaux « sont souvent paresseux bien qu’intelligents ». Ces animaux sont alors « souvent justiciables de Sulfur », une préparation homéopathique à partir d’une souche mère de soufre.

En 2018, une autre thèse a été validée par l’université. Intitulée « Les maux de l’enfance : conseils homéopathiques à l’officine » [15], elle affirme en introduction que « cette médecine permet aux patients de bénéficier d’un traitement curatif sans iatrogénie médicamenteuse » et qu’elle fait preuve d’une « efficacité dénuée de risque ». Là aussi, les termes « évaluation » et « essai clinique » sont absents. En revanche, la fameuse « théorie de la mémoire de l’eau », pourtant invalidée par la communauté scientifique depuis très longtemps [16], se trouve réhabilitée : « on se rend compte que même en l’absence de substance chimique, l’eau utilisée comme solvant a gardé en “mémoire” les propriétés du principe actif initial ». Cette thèse a obtenu le prix national 2017-2018 des Laboratoires Boiron dont l’objectif est de récompenser un travail qui contribue à « développer les publications et travaux en homéopathie » [17].

En 2019, une thèse intitulée « Pathologies bucco-dentaires des enfants : Fiches pratiques homéopathiques pour l’officine et le cabinet dentaire » pour obtenir le diplôme d’État de Docteur en Pharmacie a été validée par l’université. La « théorie » homéopathique y est exposée sans aucune critique ni recul. On y lit par exemple, en termes d’approche clinique, que les sujets à « la constitution phosphorique […] ont des membres plus longs, ils sont grands et élancés, des mains à cette image, grandes et fines, une ossature fragile, des dents plus hautes que larges et jaunes » et que le nourrisson de cette constitution « est longiligne et maigre, le ventre est creux, son appétit est peu régulé, ses nuits sont agitées, il penche pour la nourriture salée et la viande ». Le nourrisson « fluorique » a, quant à lui, « la tête asymétrique, le teint ictérique, la faim irrégulière, ses côtes se devinent à l’œil nu alors que son ventre est proéminent », et que ces éléments sont déterminants dans le diagnostic et donc les conseils prodigués. Ces affirmations semblent plus relever de croyances ancestrales que de la médecine du XXIe siècle.

Bien d’autres thèses soutenues à l’université de Lorraine peuvent être citées, comme « Viscum album, son histoire, ses utilisations en phytothérapie et homéopathie » (2021 [18]), « L’intérêt de l’homéopathie dans l’accompagnement du traitement de l’insuffisance veineuse » (2019 [19]), « Phytothérapie, aromathérapie, homéopathie : pathologies cutanées courantes chez le cheval et conseils à l’officine » (2019 [20]), « Pathologies cutanées bénignes traitées par l’homéopathie à l’officine » (2015 [21]), « La prise en charge homéopathique des troubles du sommeil chez l’adulte et l’enfant » [22]).

Point commun à toutes ces thèses : elles présentent l’homéopathie comme une discipline établie et validée. Autre point commun, l’enseignante qui dispense les cours controversés évoqués plus haut a présidé la quasi-totalité des jurys qui les ont validés.

Promouvoir l’homéopathie ou promouvoir l’esprit critique ?

Le Collège national des généralistes enseignants affirmait en 2019 que l’« on ne peut pas à la fois recommander [aux étudiants] des contenus fondés sur les données de la science, imposer qu’ils soient formés à la lecture critique, et en même temps leur proposer des enseignements véhiculant des aberrations grossières aux antipodes de la démarche scientifique » [23]. L’activité d’enseignement de l’université de Lorraine ne peut bien entendu se réduire aux aspects pseudo-scientifiques identifiés à la faculté de pharmacie, et les disciplines enseignées par ailleurs ne sont pas comptables de ces dérives. La direction de l’université gagnerait cependant à clarifier sa position et à affirmer que l’homéopathie ne peut être enseignée comme discipline médicale et que son efficacité n’a jamais pu être mise en évidence. Elle se doit d’exercer son contrôle sur la rigueur scientifique des enseignements dispensés et des thèses délivrées.

Derniers développements (10 octobre 2022)

Thomas C Durand a rendu compte (sur le site menace-theoriste.fr) de sa rencontre le 5 octobre 2022 avec la présidente de l’Université, en présence du doyen de la faculté de pharmacie. Il fait état d’un échange qui « a pu se faire de manière très ouverte et détendue » et lors duquel le problème du cours dans la formation des élèves infirmiers a été identifié. Par ailleurs, il indique que la collaboration avec l’Université ainsi que le module transversal « zététique et esprit critique » pour les écoles doctorales « devraient être rétablis prochainement ».

Il n’était donc pas inutile d’alerter sur ce sujet.

Reste néanmoins le problème du contenu de certaines thèses d’exercice pour le diplôme de pharmacien qui restent problématiques. Malheureusement, soulignons que ce n’est pas un problème spécifique à la seule faculté de pharmacie de Nancy.

Références

1| Haute autorité de santé, « Évaluation des médicaments homéopathiques. Avis défavorable au maintien du remboursement », 9 juillet 2019.
https://www.has-sante.fr/jcms/p_3116594/fr/evaluation-des-medicaments-homeopathiques
2| « L’homéopathie en France – Position de l’Académie nationale de médecine et de l’Académie nationale de pharmacie », communiqué de l’Académie de nationale de médecine et de l’Académie nationale de Pharmacie, 28 mars 2019.
https://www.academie-medecine.fr/lhomeopathie-en-france-position-de-lacademie-nationale-de-medecine-et-de-lacademie-nationale-de-pharmacie/
3| « Des universités décident de mettre fin à leurs formations en homéopathie », Science et pseudo-sciences n°326, octobre 2018.
https://www.afis.org/Homeopathie-prolongations-avril-2018
4| « Fakemed-O-mètre 2021 », Collectif Fakemed, 2021.
https://nofakemed.fr/fakemed-o-metre-2021/
5| « Ce cours d’homéopathie à l’université est-il une catastrophe ? », vidéo sur la chaîne YouTube « La Tronche en biais », 15 novembre 2021.
https://www.youtube.com/watch?v=hKTc5U6IhAY
6| « Document d’enregistrement universel 2021, Boiron.
https://www.boironfinance.fr/sites/boiron_finances/files/2022-04/Boiron_DEU_2021_FR.pdf
7| « Étudiants en soins infirmiers, un pas décisif vers l’université », Ministère des solidarités et de la santé et Ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, 2019.
https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/180705_-_dp_-_universitarisation_des_infirmiers.pdf
8| « Circulaire interministérielle DHOS/RH1/DGESIP no 2009-202 du 9 juillet 2009 relative au conventionnement des instituts de formation en soins infirmiers (IFSI) avec l’université et la région dans le cadre de la mise en œuvre du processus licence-master-doctorat (LMD) », 9 juillet 2009.
https://solidarites-sante.gouv.fr/fichiers/bo/2009/09-08/ste_20090008_0100_0105.pdf
9| Livret des études 2020-2021, Faculté de pharmacie, université de Lorraine.
https://pharma.univ-lorraine.fr/wp-content/uploads/2021/01/LIVRET-DES-ETUDES.pdf
10| « La faculté de pharmacie défend-elle une pseudoscience ? », », vidéo sur la chaîne YouTube « La Tronche en biais », 30 mars 2022.
https://www.youtube.com/watch?v=qUqC712Lupc
11| « Université de Lorraine – Homéopathie 1 / Esprit critique 0 », La Tronche en Biais, sur le site « La menace théoriste », 24 septembre 2022.
https://menace-theoriste.fr/universite-de-lorraine-homeopathie-1-esprit-critique-0/
12| Fedrigo T, « Un Youtubeur de Nancy dénonce les cours d’une enseignante en homéopathie », L’Est Républicain, 28 septembre 2022.
https://www.estrepublicain.fr/magazine-sante/2022/09/29/un-youtubeur-de-nancy-denonce-les-cours-d-une-enseignante-en-homeopathie
13| Livret des études 2022-2023, Faculté de pharmacie, université de Lorraine.
https://pharma.univ-lorraine.fr/service-scolarite/
14| Charpentier Y, « L’homéopathie vétérinaire dans un élevage bovin, focus sur les principales pathologies », thèse soutenue à la Faculté de l’université de Lorraine le 7 novembre 2017.
https://hal.univ-lorraine.fr/hal-01932345/document
15| Benassou H, « Les maux de l’enfance : conseils homéopathiques à l’officine », thèse soutenue à la Faculté de l’université de Lorraine le 23 mars 2018
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/BUPHA_T_2018_BENASSOU_HANNAN.pdf
16| de Weck A, « Mémoire de l’eau et biologie numérique », Science et pseudo-sciences n°286, juillet 2009.
https://www.afis.org/Memoire-de-l-eau-et-biologie-numerique
17| « Le prix national des laboratoires Boiron remis à une jeune diplômée de la faculté de pharmacie », Factuel, l’info de l’université de Lorraine, 29 janvier 2019.
https://factuel.univ-lorraine.fr/node/10384
18| Gelpi J, « Viscum album, son histoire, ses utilisations en phytothérapie et homéopathie », thèse soutenue à la Faculté de l’université de Lorraine le 24 septembre 2021.
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/PHA_T_2021_2088_GELPI_JEREMY.pdf
19| Pirio M, « L’intérêt de l’homéopathie dans l’accompagnement du traitement de l’insuffisance veineuse », thèse soutenue à la Faculté de l’université de Lorraine le 5 avril 2019.
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/BUPHA_T_2019_PIRIO_MAXIMILIEN.pdf
20| Brenger C, « Phytothérapie, aromathérapie, homéopathie : pathologies cutanées courantes chez le cheval et conseils à l’officine », thèse soutenue à la Faculté de l’université de Lorraine le 3 mai 2019.
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/BUPHA_T_2019_BRENGER_CLARISSE.pdf
21| Zille M, « Pathologies cutanées bénignes traitées par l’homéopathie à l’officine », thèse soutenue à la Faculté de l’université de Lorraine le 15 octobre 2015.
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/BUPHA_T_2015_ZILLE_MELANIE.pdf
22| Antoine M, « La prise en charge homéopathique des troubles du sommeil chez l’adulte et l’enfant », thèse soutenue à la Faculté de l’université de Lorraine le 2 juillet 2021.
http://docnum.univ-lorraine.fr/public/PHA_T_2021_2054_ANTOINE_MELANIE.pdf
23| « Lettre ouverte du CNGE : L’enseignement de l’homéopathie à l’Université », Lettre à la Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Collège national des généraliste enseignants, 5 juillet 2019.
https://www.cnge.fr/lettres_et_communications_du_president/lettre_ouverte_du_cnge_lenseignement_de_lhomeopath/

1 Syndicats professionnels, associations, représentants de l’industrie, Ordre des médecins, des pharmaciens, etc. L’ensemble des contributions peut être consulté sur le site de la Haute autorité de santé.

2 L’Afis a pu visionner la présentation complète.


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